La danse hip-hop est une partie de la culture hip-hop. Expression partage épanouissement et revendication en sont les maîtres mots. Le hip-hop se développe dans les années 60 au sein de la communauté noire défavorisée du bronx et très vite différents styles apparaissent aux Etats-Unis et se distinguent: break, lock, hype, pop… Autant de danses que d’univers musicaux qui vont prendre une ampleur considérable et se transformer un mouvement culturel majeur partout dans le monde.

Infos à venir…

Le Commercial :

Le Commercial est un style particulier, souvent à la mode, qui suit, comme son nom l’indique, les tendances artistiques de l’époque dont il est contemporain. Il s’agit d’une danse aux facettes multiples, qui puise dans les ressources artistiques et techniques de multiples autres styles, tels que le Street Jazz, le Heels, le Dancehall, l’Afro, le Reggaeton, les danses Hip-Hop, et beaucoup d’autres. Souvent pensé comme un style s’adressant aux danseurs, à l’occasion de cours du soir, ou dans le cadre de leur formation, il est aussi et surtout pensé pour la scène, et plus largement pour l’industrie du divertissement, à laquelle il est très étroitement lié. En effet, lorsque dans les années 2010, l’industrie du musicale était dominée par le style Dance/Pop avec des figures de proue telles que Katy Perry, Lady Gaga, Rihanna, ou encore Usher, le Commercial était alors extrêmement inspiré du Street Jazz, la danse la plus liée à cet univers musical. Plus tard, vers la fin de la décennie 2010 et en début de décennie 2020, le Commercial suit l’évolution de l’industrie musicale qui s’oriente alors vers un univers beaucoup plus urbain, rap, trap, Dancehall, afro, et le Commercial est alors infusé par les cultures Dancehall et afro. Aujourd’hui le Commercial évolue avec le monde de la danse, et une diversification du paysage musical, qui n’est plus dominé par un seul style (du fait du changement des habitudes de consommation, et notamment en raison du passage de la consommation en radio et en CD à la consommation en streaming) et devient donc plus que jamais multifacettes. Suivant l’émergence d’un courant revenant aux influences pop et électroniques, mon Commercial est influencé par le Street Jazz, ce qui implique un fort travaille de lignes, de propreté, d’énergie, d’interprétation, mais aussi de mémoire, car mon commercial est grandement tourné vers la scène. Il est également très inspiré de la danse heels, ce qui implique une saveur particulière, que l’on serait tenté de qualifier de « girly », plus douces, plus rondes et sensuelle. Mes chorégraphies s’inscrivent toujours dans une recherche de sens, à travers une esthétique recherchant la sophistication et l’épuration du mouvement. Le questionnement artistique qui peut le mieux résumer mon travail est le suivant : comment proposer, avec une chorégraphie, un divertissement exigeant, ambitieux et recherché, mettant autant en valeur la pièce musicale que les danseurs, tout en restant accessible au plus grand nombre ? Mes exigences vont naturellement se porter sur un travail de précision (du fait des lignes, et du caractère « stage » de mon commercial) mais aussi sur un travail de textures et de justesse du mouvement(nécessaire à la saveur sensuelle et sophistiquée dont je cherche à infuser mon travail). De plus, le travail d’interprétation reste fondamental dans ce style. Concrètement, et pour atteindre ces objectifs, le cours se construit autour d’une première section de 45 minutes comprenant un préchauffement, un échauffement, une courte session de renforcement musculaire, un étirement, une barre technique visant à travailler la propreté des bras notamment, et d’une deuxième section de 45 minutes centrée sur le travail chorégraphique.

Le Heels :
Style de danse émergeant en Europe depuis la moitié de la décennie 2010, le Heels s’inspire au départ de la gestuelle des danseuses cabarets, qui, au départ, sont pour la plupart des danseuses académiques à la recherche d’un complément de revenu à côté de leur travail en opéra ou en compagnie.
Ces danseuses académiques ont mis en place un projet simple : réinvestir leurs connaissances techniques dans des pièces artistiques frivoles mais élégantes, basées sur le port de chaussures à talon haut. Le Heels reprend cette approche académique, surtout depuis que des danseurs comme Yanis Marshall, Dana Foglia ou encore Malou Linders se sont lancés dans une entreprise de séparation du Heels par rapport aux autres danses. En effet, auparavant, le talon était surtout considéré comme un accessoire, et on pouvait voir, dès les années 2000, des danseuses sur des scènes commerciales telles que celles de
Beyoncé, Janet Jackson, Lady Gaga, Usher, et autres, danser en talons. Mais aujourd’hui, grâce au travail
notamment (mais pas exclusivement) des trois danseurs précédemment cités, le talon devient un style à
part entière, que l’on différencie d’une simple accessoirisation de la chaussure à talon par cette appellation anglaise « Heels ».
De par son histoire, le Heels implique, en cours, un travail technique fondamental, basé sur les techniques académiques parfois reprises telle quelle et parfois réadaptées au Heels, avec notamment une attention fortement tournée vers la posture du corps (le talon déplaçant le centre de gravité du danseur), le travail de déhanché inhérent à la marche en talons, le travail de répartition du corps, d’équilibre, de justesse du mouvement, de lignes, et un travail de sol aussi très présent, avec de nombreux et divers jeux de jambes. De plus, en cours de Heels, et c’est sûrement ce qui fait leur popularité, le travail est aussi très axé sur l’interprétation, qui est ici différente du Commercial ou du Street Jazz, et qui implique une sensualité et une féminité (terme que l’on prend comme indépendant de la notion de genre féminin, un homme peut tout à fait faire preuve d’une grande et profonde féminité, tout comme une femme peut faire preuve d’une grande masculinité) beaucoup plus présentes qu’en commercial. La sensualité est en Heels un véritable cadre de travail, et n’est pas nécessairement une fin en soi : elle sert souvent à raconter de nombreuses autres histoires.
Mon exigence, en heels, se portera sur le travail du cadre technique nécessaire à la construction du corps de danseur heels, ainsi que sur une travail de justesse musicale et d’interprétation.

Le Commercial :

Le Commercial est un style particulier, souvent à la mode, qui suit, comme son nom l’indique, les tendances artistiques de l’époque dont il est contemporain. Il s’agit d’une danse aux facettes multiples, qui puise dans les ressources artistiques et techniques de multiples autres styles, tels que le Street Jazz, le Heels, le Dancehall, l’Afro, le Reggaeton, les danses Hip-Hop, et beaucoup d’autres. Souvent pensé comme un style s’adressant aux danseurs, à l’occasion de cours du soir, ou dans le cadre de leur formation, il est aussi et surtout pensé pour la scène, et plus largement pour l’industrie du divertissement, à laquelle il est très étroitement lié. En effet, lorsque dans les années 2010, l’industrie du musicale était dominée par le style Dance/Pop avec des figures de proue telles que Katy Perry, Lady Gaga, Rihanna, ou encore Usher, le Commercial était alors extrêmement inspiré du Street Jazz, la danse la plus liée à cet univers musical. Plus tard, vers la fin de la décennie 2010 et en début de décennie 2020, le Commercial suit l’évolution de l’industrie musicale qui s’oriente alors vers un univers beaucoup plus urbain, rap, trap, Dancehall, afro, et le Commercial est alors infusé par les cultures Dancehall et afro. Aujourd’hui le Commercial évolue avec le monde de la danse, et une diversification du paysage musical, qui n’est plus dominé par un seul style (du fait du changement des habitudes de consommation, et notamment en raison du passage de la consommation en radio et en CD à la consommation en streaming) et devient donc plus que jamais multifacettes. Suivant l’émergence d’un courant revenant aux influences pop et électroniques, mon Commercial est influencé par le Street Jazz, ce qui implique un fort travaille de lignes, de propreté, d’énergie, d’interprétation, mais aussi de mémoire, car mon commercial est grandement tourné vers la scène. Il est également très inspiré de la danse heels, ce qui implique une saveur particulière, que l’on serait tenté de qualifier de « girly », plus douces, plus rondes et sensuelle. Mes chorégraphies s’inscrivent toujours dans une recherche de sens, à travers une esthétique recherchant la sophistication et l’épuration du mouvement. Le questionnement artistique qui peut le mieux résumer mon travail est le suivant : comment proposer, avec une chorégraphie, un divertissement exigeant, ambitieux et recherché, mettant autant en valeur la pièce musicale que les danseurs, tout en restant accessible au plus grand nombre ? Mes exigences vont naturellement se porter sur un travail de précision (du fait des lignes, et du caractère « stage » de mon commercial) mais aussi sur un travail de textures et de justesse du mouvement(nécessaire à la saveur sensuelle et sophistiquée dont je cherche à infuser mon travail). De plus, le travail d’interprétation reste fondamental dans ce style. Concrètement, et pour atteindre ces objectifs, le cours se construit autour d’une première section de 45 minutes comprenant un préchauffement, un échauffement, une courte session de renforcement musculaire, un étirement, une barre technique visant à travailler la propreté des bras notamment, et d’une deuxième section de 45 minutes centrée sur le travail chorégraphique.

Le Heels :
Style de danse émergeant en Europe depuis la moitié de la décennie 2010, le Heels s’inspire au départ de la gestuelle des danseuses cabarets, qui, au départ, sont pour la plupart des danseuses académiques à la recherche d’un complément de revenu à côté de leur travail en opéra ou en compagnie.
Ces danseuses académiques ont mis en place un projet simple : réinvestir leurs connaissances techniques dans des pièces artistiques frivoles mais élégantes, basées sur le port de chaussures à talon haut. Le Heels reprend cette approche académique, surtout depuis que des danseurs comme Yanis Marshall, Dana Foglia ou encore Malou Linders se sont lancés dans une entreprise de séparation du Heels par rapport aux autres danses. En effet, auparavant, le talon était surtout considéré comme un accessoire, et on pouvait voir, dès les années 2000, des danseuses sur des scènes commerciales telles que celles de
Beyoncé, Janet Jackson, Lady Gaga, Usher, et autres, danser en talons. Mais aujourd’hui, grâce au travail
notamment (mais pas exclusivement) des trois danseurs précédemment cités, le talon devient un style à
part entière, que l’on différencie d’une simple accessoirisation de la chaussure à talon par cette appellation anglaise « Heels ».
De par son histoire, le Heels implique, en cours, un travail technique fondamental, basé sur les techniques académiques parfois reprises telle quelle et parfois réadaptées au Heels, avec notamment une attention fortement tournée vers la posture du corps (le talon déplaçant le centre de gravité du danseur), le travail de déhanché inhérent à la marche en talons, le travail de répartition du corps, d’équilibre, de justesse du mouvement, de lignes, et un travail de sol aussi très présent, avec de nombreux et divers jeux de jambes. De plus, en cours de Heels, et c’est sûrement ce qui fait leur popularité, le travail est aussi très axé sur l’interprétation, qui est ici différente du Commercial ou du Street Jazz, et qui implique une sensualité et une féminité (terme que l’on prend comme indépendant de la notion de genre féminin, un homme peut tout à fait faire preuve d’une grande et profonde féminité, tout comme une femme peut faire preuve d’une grande masculinité) beaucoup plus présentes qu’en commercial. La sensualité est en Heels un véritable cadre de travail, et n’est pas nécessairement une fin en soi : elle sert souvent à raconter de nombreuses autres histoires.
Mon exigence, en heels, se portera sur le travail du cadre technique nécessaire à la construction du corps de danseur heels, ainsi que sur une travail de justesse musicale et d’interprétation.